• L'ardoise magique Valérie Tong Cuong

    Titre VF :  L'ardoise magique

    Auteure : Valérie Tong Cuong

    Editeur : J'ai Lu

    Publication : 23/01/2013

    Pages : 157

    RessentiL'ardoise magique Valérie Tong Cuong

     
     
     
     
    Quatrième de couverture 
     
    Deux jeunes filles sont assises sur la rambarde d’un pont. Un train surgit. L’une saute, l’autre pas. 
    C'est Alice qui a sauté. Elle est riche, jolie, et habite un quartier résidentiel. L’autre s’appelle Mina. Depuis la mort de sa mère, elle vit chez son oncle et sa tante dans le quartier des HLM. Les deux amies s’étaient juré de se suicider ensemble. En rompant le pacte, Mina perd toute raison d’exister. 
    Pourquoi n’a-t-elle pas sauté ? Qu’est-ce qui l’a retenue à la vie ? Pourquoi Alice voulait-elle en finir ? Quelle spirale les conduisait ainsi au suicide ? Devenue fugitive, Mina cherche à comprendre ce qui s’est passé depuis qu’Alice est entrée dans sa vie. Pourquoi ont-elles noué une amitié si forte ? Qui était vraiment Alice ? Cette enquête va pousser Mina à regarder la vérité en face, une terrible vérité, dont il lui faudra s’affranchir pour gagner sa liberté. 
     
    Mon avis  
     

    Il y a des petits livres comme ça qu'on a dans sa PAL, qu'on met du temps à lire sans savoir pourquoi.

    Je me suis donc décidée à sortir ce petit livre de 157 pages et c'est une bien jolie découverte que j'ai fais là.

    J'aime beaucoup ce genre de petites histoires sans prétention qui s'orientent même à être une fable, une morale.

     Mina est une jeune lycéenne que la vie n'a pas épargnée, elle vit avec son oncle et sa tante après un drame et ces derniers sont loin de la considérer comme leur fille. Elle doit se plier à leurs règles et à leur indifférence envers elle.

    Malgré ce triste quotidien elle se raccroche à sa meilleure amie : Alice, qui elle vit tout le contraire : elle vit au cœur d'une famille qui semble être très aimante, dans une luxueuse maison, mais malgré ce confort Alice ne sent pas bien dans sa peau. 

    J'ai beaucoup aimé les conversations entre ces deux jeunes filles, venant de deux horizons complètement opposés, leurs dialogues peuvent parfois être houleux. 

    Un autre personnage que j'ai beaucoup aimé, Sans-Larmes, va croiser la route de Mina, il est très attachant et son histoire est bouleversante.

    Il va être d'un grand secours pour Mina et va l'aider à trouver son chemin. 

    Je suis ravi de cette découverte et je suppose que ceux qui ont lu ce petit roman ou qui vont le lire, ne vont pas s'attendre à ce dénouement, c'est habilement bien mené par l'auteure et cette petite fable m'a vraiment conquise et j'aime quand ce genre de petit récit vous fait réfléchir quelques instants. 

    Je vous invite découvrir ce petit récit qui est riche en humanité et en personnages que la vie n'a pas gâtés mais qui ne baissent pas les bras.

     

    1 commentaire
  • DANS LE CAMP DES ASSASSINS de Marie - Claude Bérot

    Titre VF :  Dans le camps des assassins.

    Auteure : Marie - Claude Bérot

    Editeur : Flammarion

    Collection : Tribal 

    Publication : 13 février 2013

    Pages : 128 

    RessentiDANS LE CAMP DES ASSASSINS de Marie - Claude Bérot

     
     
     
     
    Quatrième de couverture  

    "Ton père a tué un homme.

    Une vague étouffante.

    Mon corps tout entier roué de coups par cette phrase se décomposait.

    La colère prenait la relève de la peur. J'aurais pu tuer moi aussi."

    La vie de Clémence s'effondre quand elle apprend que son père est un meurtrier. Enfermée dans sa tristesse, elle partage ce lourd secret avec sa grand-mère. Comment accepter d'être la fille d'un père assassin ? En apprenant à aimer, tout simplement.

     

    Mon avis  

     

    Ce petit roman de 128 pages nous plonge dans la vie de Clémence qui du jour au lendemain va être bouleversée par les actes de son père.

    On vit avec elle les conséquences de son acte, les répercutions que ça peut avoir sur une jeune fille en pleine adolescence qui cherche sa voie, à se construire.

     

    Clémence vit avec sa grand mère paternelle, c'est elle qui l'a élevée suite au divorce de ses parents.

    Je me suis dis qu'elle avait eu énormément de chance d'avoir ce petit bout de femme très courageux à ses côtés.

    L'enfance de Clémence n'a pas été facile, ses parents ne cessaient de se disputer, elle vivait parmi les cris, les hurlements et assistait à des scènes violentes qu'aucun enfant ne devrait voir.

    Après ce divorce son père ne sait jamais stabilisé, il allait de ville en ville et même à l'étranger, quant à sa mère, celle ci s'est remariée et à déménagé dans un autre département.

     

    Cette jeune fille est entourée de sa meilleure amie Emma et de son « petit copain » Gauthier, elle est pleine de vie, drôle et profite de la vie.

    Ses amis vont bien se rendre compte que son comportement n'est plus le même, mais Clémence ne ne doit parler à personne du crime de son père, elle doit rester la même tout en gardant son terrible secret.

    Mais le poids est trop lourd pour ses frêles épaules, elle va se confier à sa meilleure amie mais n'en ressentira quasiment aucun soulagement, se sentant incomprise.

     

    C'est un joli roman, court, qui va vite à lire et la plume de l'auteure se lit facilement.

    Un petit livre rempli d'espoir et qui nous apprend que des fois l'aide qu'on souhaite ne vient pas forcément de là où on l'attendait.

    Une main tendue peu importe qui vous la tend.

     


    4 commentaires
  • Drame

    Titre VF :  Là où j'irai

    Titre VO :  Where she went 

    Auteur : Gayle Forman

    Editeur : Oh Editions 

    Publication : 4 novembre 2010

    Pages : 281

    RessentiDrame

     
     
     
     
    Quatrième de couverture  

    Adam se glisse dans la salle. Il a 21 ans, c'est une rock star adulée et l'ancien amoureux de Mia...  Trois ans plus tôt, Mia était partie sans un au revoir, sans une explication. Leur retrouvailles est un choc : les souvenirs, bons et mauvais, ressurgissent, les sentiments encore à vif les submergent,leur amour qu'il pensait indestructible quelques années plus tôt se heurte à la réalité de leur vie présente. De nouveau, Mia est confrontée à un choix: doit-elle revenir en arrière pour donner une chance à son premier amour? Peut-on revivre la même passion si longtemps après, malgré les souffrances endurées? Ils ont une soirée pour décider. Plus forte que les mots, la musique les emporte dans un tourbillon d'émotions. Mais est-ce suffisant pour les réunir de nouveau?

     

    Mon avis  

    J'ai beaucoup aimé que l'histoire soit racontée du point de vue du jeune homme, Adam. De ce fait on apprend à le connaître on en sait davantage sur sa personnalité et sur ce qui lui est arrivé . Ils ont vécu cette tragédie et l'auteur les  fait grandir à travers ce drame on les sent plus adultes mais très blessé. Trois années se sont écoulées et on découvre un jeune homme meurtrit, torturé après le départ de Mia . Adam est une rock star , il va de tournée en tournée, il est adulé, son groupe rencontre un large succès. Mia l'a quitté sans explication et cela fait trois ans qu'il vit dans le flou le plus total  et c'est le hasard qui va les réunir, il va aller l'écouter alors qu'elle se produit à New-York. L'auteur nous fait voyager avec Adam et Mia dans les rue de New-York au fil de la musique et de leur retrouvailles, ils vont se remémorer les bons moments du passé. Je vous conseille donc le second tome autant que le premier, c'est un trésor d'émotions .  


    2 commentaires
  • LE DOUX VENIN DES ABEILLES de Lisa O'Donnell

    Titre VF :  Le doux venin des abeilles

    Titre VO :  The Death of Bees

    Auteure : Lisa O'Donnell

    Editeur : Michel Lafon

    Publication : 7 février 2013

    Pages : 362

    Ressenti   LE DOUX VENIN DES ABEILLES de Lisa O'Donnell

      
     
     
     
     
    Quatrième de couverture 

    « Aujourd’hui, c’est la veille de Noël. Aujourd’hui, c’est mon anniversaire. Aujourd’hui, j’ai quinze ans. Aujourd’hui, j’ai enterré mes parents dans le jardin. Personne ne les regrettera. » 

    Après la mort brutale de leurs parents, Marnie, quinze ans, et sa petite sœur Nelly décident de poursuivre leur vie comme si de rien n’était, bien que chacune d’elle soupçonne l’autre de les avoir assassinés. Personne ne semble se douter de leur sort. Excepté Lennie, l’homme qui vit dans la maison voisine. À force d’observer leurs faits et gestes, il finit par remarquer que les deux jeunes filles sont livrées à elles-mêmes, et les prend sous son aile. Au fil des mois, amis, voisins et autorités – sans compter le dealer du coin qui en a toujours après leur père – commencent à poser des questions. Et un mensonge en entraînant un autre, Marnie et Nelly s’embourbent dans une aventure qui pourrait leur coûter bien plus qu’elles ne peuvent payer. D’une plume incisive et percutante, Lisa O’Donnell nous livre un roman à trois voix envoûtant et inoubliable. Le Doux venin des abeilles est l’histoire comiquement macabre d’âmes en perdition, dont le seul espoir de rédemption est de se tourner les unes vers les autres.

      

    Mon avis  

    On ne ressort pas indemne d'une telle lecture; la lectrice que je suis cherche à avoir des émotions, et ce roman m'en a procuré du début à la fin. Je tiens à remercier Camille aux Editions Michel Lafon pour cette découverte car sans cette proposition je serai peut être passée à côté de ce roman.


    L'histoire démarre fort puisque la veille de Noël, deux sœurs : Marnie l’aînée et Nelly enterrent leurs parents dans le jardin. Elle se soupçonnent mutuellement d'avoir tué leurs parents, mais les mots ne sortent pas et elles vont se regarder en chien de faïence pendant longtemps, se soupçonnant l'une et l'autre d'être responsable de ce drame. Elles vont continuer leurs vies comme si de rien n'était, et l’absence de leurs parents ne vas pas inquiéter grand monde car ils ont souvent la manie de partir et de les laisser livrées à elle même.  Les parents : Gene et Izzy, ne sont que des toxicos, alcooliques qui dépensent le peu d'argent qu'ils ont pour se shooter et picoler du matin au soir. Ils sont vulgaires, vivent dans une maison délabrée où ce qui est cassé n'est jamais réparé et ce qui est sale n'est pas nettoyé. Ces deux gamines subissent la bêtise et la dégradation sociale de leurs parents. Les deux sœurs vont alors inventer qu'ils sont partis en Turquie pour tenter de dissimuler la vérité.


    En commençant ce roman, on pense tout de suite que la fin va forcément être dramatique, ces pauvres gamines ont mis un pied dans la vie mais n'ont pas eu de chance depuis leur naissance, avec cette prédestinée tragique, on s'attend forcément à ce que ces deux filles terminent mal comme leurs parents, des droguées, aux mœurs légères et qui ne feront qu'imiter leurs parents.

    Mais ces deux gamines au destin que l'on croirait tracé, en ont bien plus sous le pied que bien des enfants. Elles sont toutes deux très différentes : Marnie la plus âgée est très intelligente, c'est une adolescente qui n'a pas besoin d'apprendre ses leçons elle collectionne les A, elle a un bulletin scolaire exemplaire tout ça sans se fouler, et même si son désir à toujours été de partir de cette misère, cette gamine ne se respecte pas, elle fume, se drogue, boit et offre son corps à un homme marié. J'ai eu envie de hurler face à autant de capacités gâchées.
    Nelly la cadette est tout aussi intelligente mais son comportement peut paraître assez loufoque parfois, contrairement à son aînée qui use et abuse d'un langage charretier et vulgaire, Nelly aime s'exprimer avec beaucoup d'élégance, elle fait des crises aussi quand elle se sent dépassée en émotions en se mettant à hurler et jeter des choses. J'ai beaucoup aimé son côté fantasque et qui essaie quand même de tirer de l'optimisme de leur situation dramatique.


    Mais ce roman sur fond de misère sociale va aussi offrir de belles rencontres, comme Lennie leur voisin qui au bout d'un certain temps va commencer à se demander où sont passé leurs parents, malgré le fait que les filles continuent de lui dire qu'ils sont partis en Turquie. L'arrivée de cet homme dans leur vie va les aider tant bien que mal à se recadrer, à comprendre qu'il y a des limites mais aussi que de partager un bon petit déjeuner ou de préparer le repas ensemble peuvent être des petits moments de bonheur anodins pour certains mais un vrai havre de paix pour ces gamines.


    D'autres rencontres vont venir se greffer au fur et à mesure de leur histoire, comme Vlado un dealer au cœur tendre ou encore un membre de la famille qui resurgit mais qui ne va pas du tout leur être d'un grand secours.
    Comme je l'ai déjà dis, on s'attend forcément à un fin tragique avec un roman pareil. Et c'est là que je suis en admiration devant ce roman, car je trouve qu'il y a une vraie morale à cette histoire, que notre destin est entre nos mains et que nous ne sommes pas condamnés à reproduire les faux pas de nos parents, même en venant du pire quartier de la ville la plus glauque du monde, entourés de junkie, de voleurs : L'ESPOIR est toujours là et c'est ce que ce roman révèle aux yeux de tous.


    J'ai vraiment été embarquée par la plume de l'auteur, cette dernière a une plume très incisive, acérée elle ne prend pas de gants pour nous décrire les situations et le contexte. J'ai aimé cette narration à 3 voix, des chapitres courts mais précis où l'on va à l'essentiel.Je suis passée par beaucoup d'émotions différentes, je me suis d'abord indignée face à ces parents qui n'assument pas leur rôle et qui laissent ces 2 pauvres enfants livrées à leur propre sort, j'ai eu peur pour elles, peur qu'elles se fassent attraper et que ça ne fasse qu'empirer leur destin et j'ai été très émue par les derniers chapitres, et je le suis encore rien que d'y penser et en tapant ces quelques lignes.


    J'ai toujours considéré les livres comme ma bouée de sauvetage, ils vous sortent d'un quotidien morose. Petite je m'enfermais dans ces histoires pour en occulter d'autres et merci aux auteurs comme Lisa O'Donnell  de donner espoir, même si cette histoire n'est pas un fait réel on sait tous qu'elle se rapproche fortement du vécu de certains de ses enfants qui vivent dans des conditions calamiteuses, bien sur je ne parle du fait d'enterrer ses parents dans le jardin LOL.

     Je parle de leurs conditions de vies et cette fin du roman m'a vraiment ébranlée, car ce roman m'a dit tout simplement que OUI, on peut encore y croire et que la vie est aussi pleine de surprises et qu'il ne faut pas se croire vaincu par son passé quand on a encore toute la vie devant soi.


    GROS COUP DE ♥


    votre commentaire
  • Titre VF : Défendre Jacob

    Titre VO : Defending  Jacob

    Auteur : William Landay

    Editeur : Michel Lafon

    Publication : 11/10/2012

    Pages : 444 pages 

    Ressenti : DÉFENDRE JACOB de William Landay  

     
     
     
    Quatrième de couverture  

    Depuis vingt ans, Andrew Barber est procureur adjoint du comté de Massachusetts. Admiré par ses pairs pour sa combativité au tribunal, respecté de la communauté, il est aussi un père de famille heureux, veillant sur sa femme Laurie et leur fils Jacob. Quand un crime atroce secoue la quiétude de sa petite ville, c'est la foudre qui s'abat sur lui : son fils de 14 ans est accusé du meurtre d'un camarade de classe. Andrew ne peut croire à la culpabilité de Jacob et va tout mettre en oeuvre pour prouver son innocence. Mais à mesure que les indices à charge s'accumulent et que le procès approche, certaines révélations surgies du passé sèment le doute et menacent de détruire son mariage, sa réputation et sa foi en la justice. Le dos au mur, Andrew devra faire face au pire dilemme de sa vie : choisir entre la loyauté et la vérité pour défendre cet adolescent qu'il connaît si mal.

     
    Mon avis  

    Dès que cette lecture a été proposée par les Éditions Michel Lafon, j'ai tout de suite été attirée par la couverture, et quand on prend connaissance du synopsis, on a qu'une envie, lire ce roman pour savoir ce qu'il s'est passé.
    Je remercie donc la maison d'édition de m'avoir confié cette lecture.

    Je me suis souvent surprise, lorsque je faisais une pause dans ma lecture, à regarder la couverture, à laisser mon regard dans les yeux verts perçants de ce gamin sur cette photo.

    Un regard volontaire, la bouche entrouverte, cette bouille juvénile à la limite de nous défier.
    J'ai apprécié le format peu commun du roman, il est un peu plus grand et large que les brochés habituels, et en main, le touché de la couverture et des pages est très agréable.

    Une petite ville bien tranquille où ses habitants vont voir leurs vies chamboulées quand un adolescent de 14 ans, Ben Rafkin, est retrouvé mort, assassiné, dans un parc.

    Le procureur en charge de l'affaire, Andrew Barber, va lui aussi sentir le sol se dérober sous ses pieds, car son fils Jacob est accusé du meurtre.
    A ce moment tout le titre du livre prend son sens : « DEFENDRE JACOB », une ligne directive, un objectif, une mission qui va à jamais changer le cours de leurs existences.

    Le roman est découpé en 4 parties, comme si l'auteur avait échafaudé un plan minutieux pour nous amener là où il voulait.

    La plus importante partie du roman se déroule au procès. J'ai adoré suivre ce huis clos oppressant. Je ressentais et avais l'impression de vivre cette audience, comme si j'étais aux côtés de Laurie, la maman de Jacob, sur le banc des familles, derrière les accusés.
    Toute l'histoire est racontée du point de vue du père de Jacob, à travers ses yeux et sa voix on comprend toute l'ampleur et l'impacte qu'un procès de cette taille joue sur vous, votre entourage et on comprend que votre vie ne sera plus jamais la même dans cette ville, aux côtés de vos voisins et ami(e)s de plus de vingt ans. Peu importe le verdict, dans les yeux des gens, avoir été accusé suffit à vous éviter !

    Tout le long du roman et jusqu'à la fin on se pose une question essentielle : coupable ou non coupable ???

    Bien sur il va falloir que vous vous plongiez à votre tour dans ce roman pour connaître la réponse, mais je tiens à dire que le style de l'auteur et sa façon d'écrire sont brillants. Il nous embarque dans cette histoire et je me permets de dire que j'espère de tout cœur que ce livre sera un jour adapté au cinéma. Il ferait juste un film sensationnel !

    Pour reprendre la phrase choc qui paraît sur la quatrième couverture, « Palpitant, haletant, déchirant, un véritable coup de poing ! », dixit l'auteur, Linwood Barclay, c'est exactement ce que j'ai ressenti pendant et après ma lecture.

    Effectivement la fin vous file un sacré crochet du droit dans l'estomac, j’étais abasourdie par cette conclusion, même après avoir refermé le roman, je continuais à me poser des questions.

    Moi qui en ce moment lis beaucoup de romans dans une veine Young Adult/Jeunesse, je dois dire que ça fait du bien de pouvoir aussi découvrir ce type d'histoire, un roman Adulte. Je n'ai qu'une envie, savoir si l'auteur a écrit d'autres romans, et attendre les prochains avec impatience.


     

     

     

     


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique