J'ai beaucoup de chance en ce moment avec les thrillers, ces derniers temps je n'ai pas eu de déception avec ce genre et cela se confirme avec celui ci.

J'ai lu ce roman dans le nouveau format poche (voir photo), même si ce format se trouve être très pratique quand on lit comme moi pendant les trajets boulot maison en train, les pages sont malheureusement très voire trop fines, alors un conseil mesdames faites très attention quand vous le mettez dans le sac à main et surtout s'il est comme le mien plus à un fourre tout qu'a un sac.

Ce thriller est vraiment remarquable, j'ai beaucoup aimé l'atmosphère et l'intrigue rondement menée, encore un auteur dont je vais surveiller les sorties et un de plus LOL !!
Au dos du roman après la présentation de l'éditeur il est dit : « un thriller psychologique digne de Seven et du Silence des agneaux... » je suis tout à fait d'accord avec ces comparaisons notamment sur le style et la fin qui vous laisse scotchées

Beaucoup de révélations qui m'ont surprises, des divulgations surprenantes auxquelles je ne m'attendais pas du tout, vraiment une bonne surprise ce thriller, il réunit tous les ingrédients nécessaire pour me faire frissonner et me surprendre. 
C'est pour ma part vraiment ce que je recherche dans ce type de lecture, j'ai envie que l'auteur m'embarque dans son délire et me laisse complètement ébahie face à un final qui doit me laisser bouche bée.

La quatrième de couverture est, je trouve assez explicite et résume déjà très bien ce qui nous attend c'est pour cette raison que je ne suis pas revenue sur ce qui se passe, sachez juste que je suis très heureuse de ne pas avoir de grenier à ma maison.

Merci aux Editions Points pour cette découverte qui m'a vraiment séduite et qui m'a bien faite frissonner aussi, c'est un thriller qui tient largement a route et qui tient ses promesses.

Amateur et fan du genre comme moi, foncez !!

Je vais vous paraître très répétitive sur mes chroniques thrillers ces derniers temps, et je m'en excuse d'avance, mais ce n'est pas de ma faute, j'ai la chance de tomber sur des romans dans cet univers qui m'épate à chaque fois. Et c'est encore le cas ici, avec cette auteure française dont je commence à vraiment apprécié l'univers, j'en deviens carrément fan !!

Tout dans ce thriller est réuni pour en faire un moment de suspens intense et vous torturer l'esprit, Mme Giebel a un grand talent pour ça, je vous l'assure.

Difficile de vous parler de l'histoire en elle même sans risquer de révéler des choses importantes alors je vais faire très attention à ne rien vous dévoiler car il faut vraiment le lire pour conserver ce suspens et cette tension insoutenable.

J'ai été bluffée par ce roman, la fin m'a fait bondir du canapé tant je ne m'y attendais pas du tout, l'auteure à vraiment un don pour nous surprendre, ce huis clos bourreau face à son prisonnier a été très haletant, j'avais l'impression d'assister à chaque séance de tortures et croyez moi je n'aurai pas aimé être à la place de la personne séquestrée.

Tout le long de cette intrigue on est tenu en haleine car on a forcément envie de savoir pourquoi cette plantureuse créature en vient à faire de cet homme son détenu et forcément envie de découvrir comment ce face à face va se terminer.

Malgré cette ambiance victime tortionnaire, j'ai ressenti de la peine pour les personnages de ce roman qu'on devrait détesté mais comme je ne peux pas en dire plus, je vais m'arrêter là, mais j'ai vraiment ressenti pour des personnages qui se retrouve à faire des choses dont ils ne se seraient jamais cru capable une certaine empathie.

Ce roman m'a conforté dans l'idée que j'avais depuis un moment, celle de lire au plus vite tous les romans de Karine Giebel, j'adhère à 100% à cette plume qui sait vous tenir en haleine, je trouve que les femmes auteures de thrillers ont ce petit truc en plus, comme un ingrédient magique qui les distingue de leurs confrères hommes, bien que ces derniers ont aussi leurs talents pour nous faire frissonner ou nous surprendre, les femmes sont vraiment très douées dans ce domaine.

A découvrir sans plus tarder !!

Un seul mot : ENFIN !!!

Et oui j'ai commencé les romans de Sebastian Fitzek dans le désordre, ce qui n'est pas grave car ils ne se suivent pas, mais tout de même sachant que j'avais son premier roman dans ma PAL, il était temps de me décider à le sortir pour le lire !

Une chose est sûre c'est bien du Mr Fitzek ; du début à la fin j'ai été tenu en haleine ne sachant pas trop où toute cette histoire allait me mener et je n'ai pas été déçue même si on remarque une petite différence avec ses romans paru plus récemment, je note une certaine évolution sur le côté déjanté qu'il donne à ses histoires.

J'ai l'impression que pour le plus grand plaisir des lecteurs et lectrices amateurs du genre comme moi et admirative de son talent à nous faire frissonner, ça monte crescendo et ses histoires sont de plus en plus folles.

Viktor Larenz est un grand psychiatre de renom sur Berlin, sa vie a basculée quatre ans plus tôt, quand sa jeune fille de neuf ans, Josy, a disparue.

Depuis ce jour, il n'est plus le même, il se réfugie dans l'alcool, néglige sa relation maritale et malgré les conseils de certains amis, le poussant à aller de l'avant, il ne souhaite plus exercer.

Souhaitant être seul, il part sur une île, quasiment déserte, où il peut se réfugier dans sa petite maison, remuant toujours ciel et terre contre l'avis de son entourage pour retrouver sa fille. La venue d'une certaine Anna Spiegel va bouleverser son envie d'être un reclus et le calme va laisser place à la tempête au sens littéral du terme comme au figuré.

Cette jeune femme est aussi belle que mystérieuse, on se demande quel rôle elle a dans cette histoire, détient-elle vraiment des informations sur la disparition de Josy ?

Encore une fois, je suis vraiment épatée par cette capacité que l'auteur a de nous emmener là où on ne s'y attend pas dans ses romans.

Il nous suggère tout le long du roman plein d’éléments et une fois arrivée au grand dénouement on se prend quasiment claque sur claque.

Tout est bien mené, le suspens, l'intrigue, il sème les pièces du puzzle et une fois le tout assemblé, c'est vraiment détonnant.

Je suis conquise par les thrillers de cet auteur, je compte bien entendu tous les connaître et si, comme moi vous aimez ce genre, n'hésitez pas à le découvrir.

Second roman de l'auteur que je découvre ou devrais je dire, que je dévore.

Après le Briseur d’Âmes que je vous recommande vivement et dont vous pouvez découvrir ma chronique ici, j'avais hâte de découvrir une nouvelle histoire de cet auteur.

Encore une fois, je n'ai pas été déçue et je suis sortie de ma lecture bluffée par cette intrigue.

Sebastian Fitzek, auteur du roman, m'avait déjà surprise dans le roman Le Briseur d'âmes avec pour repère des chapitres, une mesure de temps en Peur, c'était tant de temps avant « la Peur », très surprenant et pour le Voleur de Regards il récidive en inversant le sens des chapitres habituels. Le roman commence par l'épilogue et finit par le prologue, les chapitres commencent du dernier en remontant jusqu'au premier, étrange ? Oui sur le moment mais ce détail prend toute son importance quand on lit le roman.

Dans cette intrigue, Alexander Zorbach est un ancien policier devenu journaliste suite à une affaire qui le traumatise encore et dont il ne se pardonne pas la fin tragique.

Toute cette affaire a ruinée sa vie : dans son travail comme dans sa vie de famille puisqu’il est sur le point de divorcer de sa femme Nicci et ses enquêtes journalistiques lui laisse très peu de temps pour être présent aux côtés de son fils.

Rien ne va s'arranger en mettant les pieds dans la machination sans scrupules du Voleur de Regards puisque ce dernier va malmener Zorbach en essayant lui faire porter le chapeau de ses mises en scènes macabres. Se joue alors pour Alexander une course contre le temps dont il ne ressortira pas indemne.

Il entraînera dans sa folle investigation, Alina une jeune physiothérapeute aveugle, qui par flash perçoit le passé aux contacts des personnes qu'elle touche.

On va, comme Alexander, beaucoup se méfier de ce personnage puis, au fur et à mesure on va apprendre à la connaître, à la comprendre.

Autant vous dire que l'auteur joue avec nos nerfs tout le long du roman, c'est délicieusement bien mené, je ne me suis doutée de rien.

La fin est épatante, quand tous les éléments s’emboîtent et que tout devient plus clair ; j'étais médusée devant mon livre, je n'en revenais pas et je me demande encore comment l'auteur peut avoir autant d'imagination et une telle facilité à nous embarquer dans ces sombres enquêtes.

J'en redemande, j'ai deux autres romans dans ma Pal : Thérapie et Tu ne te souviendras pas, qu'il faut que je lise à tout prix, c'est un auteur que je suis et que je ne suis pas prête de lâcher.

Amateurs de thrillers brillants, celui-ci est fait pour vous.

Sebastian Fitzek présente "Le voleur de regards" :